« La prunelle de mes yeux »
C’est ce qui était écrit sur une caisse que ma mère m’avait laissée avant de disparaître, et que j’ai retrouvée bien des années après, à mon retour de l’étranger : des milliers de pages de correspondance, datant des années 80. J’écrivais alors 12 pages par jour semble-t-il.
C’est cette découverte qui m’a fait comprendre que je devais terminer Taman Asli, et qui m’a permis de documenter avec précision la reconstitution d’un été oublié.

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